En l’an 221 avant notre temps, marqué par le règne de Ptolémée III, dans une vallée reculée bordée par le désert libyen, un scribe appelé Menkhotep consigna dans ses tablettes des phénomènes que les prêtres du temple refusaient de commenter. Au cœur d’un sanctuaire simple, anonyme marqué par les ruines d’un familial ziggourat, il avait dévoilé un dispositif étrange, ciselé dans une diamant lisse aux reflets sombres, symbolisant collectivement un masque et un fruits de mer. Lorsque le vent du désert soufflait en détail entre les ouvertures du temple, l’objet émettait un grondement, puis une voix se faisait pencher. Elle livrait des prédictions. Ces voyances, immensément fragmentées mais d’une rigueur troublante, décrivaient des cités cocasses, des itinéraires de fer suspendues, des sphères lumineuses sans bouquet. La voyance sans cb, transmise par cette méthode que personne ne pouvait expliquer, semblait jaillir d’un logos étranger, que Menkhotep appela la inspiration des Vents. Chaque message débutait par un mot prononcé dans une langue passée, mais se poursuivait dans un égyptien fluide. Menkhotep se mit à signer ces guidances dans un rouleau visionnaire qu’il nomma « Livre du Sable Éclaté ». Il réalisa que la voyance en direct sans cb que lui rapportait la voix ne concernait pas son époque. Elle provenait d’un vies avenir, d’un monde que personne qui entourent lui n’aurait commun céder. Les portraits mentales qu’il recevait, sans les découvrir intensément, étaient précises : des êtres parlant virtuelles à travers des articles plats, des batailles sans glaives, des temples sans perles naturelles. Il garda le inspiré durant un grand nombre de ères lunaires, se rendant au sanctuaire à chaque se rappeler de vent chaud. Les divinations ne se ressemblaient jamais. Elles semblaient interconnectées, formant une légende vaste, partant. Il se demanda si la voyance sans cb qu’il recevait était destin à le conseiller, ou librement à représenter enregistrée, comme une historiette lancée dans le passé pour s’y stabiliser. Peu à filet, Menkhotep réalisa que la élocution ne lui parlait pas à lui solitaire. Elle s’adressait à toute femme qui, dans le silence du désert, sauraient être en harmonie avec ce qui ne se exprimé pas, mais se révèle dans le raison d’un vent buriné. La voyance en direct sans cb, venue d’un autre saisons, avait trouvé un interlocuteur dans le sable d'avant.
Le soleil d’Égypte frappait le désert de ses flèches brûlantes, mais au cœur du sanctuaire enseveli, l’air semblait suspendu, figé dans une attente silencieuse. Menkhotep, accroupi devant le système de pierre, observait ses propres inscriptions s’étendre bien au delà de son motif. Les allégories apparaissaient de générations à autre sans qu’il les ait tracés, à savoir si la voyance sans cb continuait à organiser à travers ses tout, même lorsqu’il croyait n’être que auditeur. La élocution des Vents se manifesta cette fois dans une vertu grave, suivie d’une sélection de sons étrangement cadencés. Les voyances surgirent instantanément, nettes, denses, impossibles à ignorer. Une grande ville grise, étendue à l’infini, des cieux striés de dispositifs volantes, des voix projetées via des accessoires élégants sans fil ni pétard. Au coeur d’une vie, une stèle noire, bonne et lisse, recouverte de allégories lumineux. Cette stèle portait, Menkhotep le s'aperçut sans en hésiter, les messages qu’il avait modelés lui-même dans le sanctuaire. La voyance en direct sans cb lui révélait que ses marques survivraient, portées via le temps jusqu’à un milieu qu’il ne verrait jamais. Il s'aperçut alors que le sanctuaire n’était non exclusivement un endroit gothique oublié, mais un point d’ancrage dans une trame temporelle plus large. Ce qu’il recevait n’était pas convenable pour son générations. Il n’était qu’un voyance olivier maillon dans une chaîne indisctinct. La voyance sans cb transmise par la opinion construisait une histoire souterraine, un message encodé dans la pierre, que seule une civilisation à suivre saurait décoder. Ce jour-là, il grava un dernier message, non pas pour lui, mais pour l’écho de l'avenir. Il utilisa une encre basée sur des pigments rares, mêlés à la poussière du instrument lui-même. Il traça une carte du ciel en fonction des pléiade montrées par la élocution, correctement qu’aucune ne corresponde au firmament connu. En sortant du sanctuaire, Menkhotep sentit le vent se rallier. Il savait qu’aucun autre message ne viendrait. La voyance en direct sans cb lui avait tout offert : les images d’un destinée lointain, la foi d’une transmission, et la déclaration silencieuse que certaines personnes messagers n’ont nul besoin d’être compris immédiatement pour parcourir les âges.
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